En commune urbaine de Ntahangwa, la population s’est jointe aux autres Burundais dans l’élection référendaire du jeudi 17 mai 201. Cette dernière s’est déroulée sans incident majeur. Au moment de son passage, la rédaction de la synergie des médias de la presse écrite a trouvé des gens alignés sur différents bureaux de vote en attendant d’accomplir leur mission à savoir le vote.
Dans la zone urbaine de Ngagara, différents bureaux de vote ont été ouvert entre 6h00 et 6h10. C’est le cas du centre de vote de l’EcofoNgagara II qui a commencé par la prestation de serment de différents membres des bureaux de votes devant les électeurs déjà sur place à 6h05. Les mandataires des partis politiques tels que le CNDD-FDD et l’UPRONA ainsi que la coalition Amizero y’Abarundi étaient sur place. Les observateurs électoraux qui étaient présents à certains bureaux de vote sont des membres des organisations telles que RAM (Réseau AmatoraMeza).
A l’EcofoGasenyi dans la zone Kamenge, il y avait quatre bureaux de vote où il y avait des mandataires des partis politiques comme le CNDD-FDD, UPRONA et APDR et la coalition Amizero y’Abarundi. Là, les organisations de la société civile comme observateur il y avait l’ONELOP Burundi, le CODIP, VRC, CNJB, MAC, AFRABU.
Dans les quatre bureaux de vote au centre de vote de l’ECOFO Gikungu, il y avait égalementdes mandataires. Des fois, on trouvait un mandataire chargé de suivre le déroulement dans deux bureaux, c’est le cas des mandataires de la coalition Amizero y’Abarundi et de l’ONELOP Burundi. La même situation était observée au Lycée municipal Gikungu où il y avait des mandataires du CNDD-FDD, UPRONA et Coalition Amizero y’Abarundi ainsi que les observateurs de l’ONELOP. Encore une fois, les mandataires de l’ONELOP Burundi et de la coalition Amizero y’Abarundi se chargeaient de suivre plus d’un bureau de vote.
Dans tous ces bureaux de vote, un défi a été relevé. Il s’agit des gens qui se présentaient sans toutefois être inscrits pour diverses raisons. C’est notamment le cas des élèves qui étaient en stage à l’intérieur du pays, des fonctionnaires qui étaient en mission à l’intérieur ou à l’extérieur lors de l’enrôlement électoral, d’autres qui travaillaient à l’intérieur du pays mais dont le travail a pris fin et qui se retrouvent maintenant à Bujumbura. De tous ces cas, des solutions tout à fait différentes ont été trouvées. Certains présidents des bureaux de vote ont permis à ces derniers de voter, d’autres leur ont fait attendre la décision de la Ceni (commission électorale nationale indépendante). Les élèves et autres ayant l’âge de moins de 18ans mais qui se sont fait inscrire en raison des élections de 2020 et qui, malheureusement se sont présentés pour voter au scrutin référendaire ont été refusé conformément à la loi, a-t-on appris sur place.
